La
porte en bois sculpté d’une maison de Saint-Tropez éveille l’imaginaire des
passants. Le capitaine Cerisola
l’a rapportée de Zanzibar au XIXè siècle.
C’est la porte de l’école d’hydrographie, fréquentée par les matelots depuis 1802.
Sûrement Bruno et Ignace ont étudié
dans cette école avec d'autres jeunes tropéziens, avant qu'ils ne partent en mer comme capitaines au long cours.
Zanzibar me fait rêver et me
turlupine.
J’ai trouvé plusieurs liens que j’essaye de tirer, mais je n’ai pas
résolu l’énigme à ce jour.
Le cimetière marin est idéalement situé dans la baie de
Saint-Tropez.
Parmi les tombes blanches, celle de la famille Cerisola
attire mon attention. Dans le marbre est gravée cette inscription :
« Famille Bancala – Cerisola Paul »
J’aimerais identifier ceux qui reposent là. Le nom Bancala
s’est perdu car, à ma connaissance, l’oncle Ignace n’a pas eu de
descendants. Lui-même s’est marié avec
Rosa Morello dont la mère est Marie Marguerite Cerisola . C’est un indice mais
je n’ai pu aller plus loin.
Voilà pourquoi ce nom, Zanzibar, associé aux marins
tropéziens, me fait rêver de grands
voyages qui ouvrent des portes à l’imagination.